La trilogie Rebelle

Sarah Maldoror, Et les chiens se taisaient. France, 1978, 13 min, coul. 
Avec Gabriel Glissant et Sarah Maldoror 

Dans les réserves du Musée de l’homme, au milieu des statues et des masques des collections africaines, un rebelle déclame devant sa mère un long poème contre l’esclavage, extrait de la pièce éponyme d’Aimé Césaire. 

Sarah Maldoror, Aimé Césaire – Le masque des mots. France, 1987, 47 min, coul. 

Invitée à Miami, pour un colloque sur la négritude réunissant Aimé Césaire et Leopold S. Senghor, Sarah Maldoror s’échappe, préférant filmer la ville et ses environs, pour retrouver le poète en Martinique. Au pied de la montagne Pelée il évoque ses liens et son attachement à cette terre volcanique indissociable de sa poésie. 

Sarah Maldoror, La Route de l’esclave – Regards de mémoire . France, 2003, 24 min, coul. 

De Toussaint Louverture à Aimé Césaire en passant par Édouard Glissant, Sarah Maldoror lie l’histoire politique de l’esclavage à celle de la poésie, du territoire et de la mémoire du déracinement. La Route de l’esclave – Regards de mémoire