Arts Festival Bristol / Psychofréquences
1970

Arts Festival Bristol / Psychofréquences
1970
Domaine | Nouveaux médias | Oeuvre sonore |
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Technique | 1 fichier WAV HD 192kHz numérisé à partir d’une bande 1/4 pouce stéréo destinée une diffusion quadriphonique |
Durée | 95 min 21 s |
Acquisition | Don de Gael Fredrikson, courtesy In Situ - Fabienne Leclerc, 2017 |
N° d'inventaire | AM 2018-390 (5) |
Fait partie de l'ensemble |
Œuvres et expérimentations sonores Ensemble (Ensemble dissociable) |
Pas de reproduction
Informations détaillées
Artiste |
Lars Fredrikson
(1926, Suède - 1997, France) | |
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Titre principal | Arts Festival Bristol / Psychofréquences | |
Date de création | 1970 | |
Fait partie de l'ensemble | Œuvres et expérimentations sonores Ensemble (Ensemble dissociable) Compilation d'expérimentations sonores sur instrumentarium électronique artisanal de la période féconde de l'artiste, 1969-1996. Elles se caractérisent par l'exploration des limites extrêmes du spectre sonore (synthétiseurs, ondulateurs, oscillateurs, générateurs, fac-similé etc.) et propulsent le champ impulsionnel acoustique en symbiose avec l'espace intérieur du corps organique. | |
Circonstances de production | Cette oeuvre sonore a été proposée par Fredrikson comme remplacement d’une Structure dynamique (les Structures dynamiques sont une série de sculptures cinétiques produites par l’artiste à la fin des années 1960), lors du Timespace Festival, organisé à l’université de Bristol par Jonathan Robertson, en 1970. Si elle n’a finalement pas remplacé la Structure dynamique, cette oeuvre a été diffusée plusieurs fois pendant le festival. Il s’agit de sa première proposition pour une exposition totalement sonore. | |
Lieu de réalisation | Production dans le studio de l’artiste, Antibes. | |
Domaine | Nouveaux médias | Oeuvre sonore | |
Description | Cette oeuvre sonore a été proposée par Fredrikson comme remplacement d’une oeuvre cinétique lors du Timespace Festival, organisé à l’université de Bristol par Jonathan Robertson, en 1970. Si elle n’a finalement pas remplacé la première proposition, elle a été diffusée plusieurs fois pendant le festival. Il s’agit de la première proposition de pièce exclusivement sonore, fixée sur bande, formulée par Fredrikson, et implique un protocole d’installation : elle est destinée à être diffusée en quadriphonie, dans un espace sombre, parsemé de coussins pour encourager l’écoute prolongée. Constituée d’impulsions aléatoires - que l’artiste appelle « psychofréquences » - et de frottements, Fredrikson y inclut des éléments musicaux symphoniques qui créent un fort contraste avec le vocabulaire plastique utilisé. Progressivement brouillés par celui-ci, ils perdent leur valeur musicale à mesure qu’il se fondent dans l’oeuvre. À la même période, Fredrikson réalise, par l’intermédiaire du psychiatre et poète Claude Faïn, plusieurs expérimentations à l’aide d’un électroencéphalogramme, sans que nous puissions établir de lien avec les psychofréquences ici utilisées. | |
Technique | 1 fichier WAV HD 192kHz numérisé à partir d’une bande 1/4 pouce stéréo destinée une diffusion quadriphonique | |
Durée | 95 min 21 s | |
Acquisition | Don de Gael Fredrikson, courtesy In Situ - Fabienne Leclerc, 2017 | |
Secteur de collection | Nouveaux medias | |
N° d'inventaire | AM 2018-390 (5) |